Pastiche 51
Howdy frendz :))
Il est des tags auxquels je refuse désormais de participer, surtout ceux où on propose de disserter sur 5 choses par ci ou 5 choses par là (ne vous offusquez pas, celles et ceux qui m'en ont proposé, vous restez mes potes). En revanche, quand le tagalacon met un peu la cervelle au bourre-couillons ... oups, pardon, au court-bouillon (décidément, va falloir que je le fasse mon bifton sur l'art du contrepet) sur des thèmes un peu moins usés, ça peut décider à y répondre. Ainsi Ariana in Alabama et Nath in Phoenix en ont-elles été victimes, et cette dernière de me refiler le bébé. Mais ne connaissant pas encore leurs habituelles fréquentations, si elles n'avaient pas cité la source de leur tag, je n'aurais pas reconnu le style. Charabia hein ? Ok, voici le tagalacon du jour proposé et intitulé "Pastiche" :
Il s'agit donc d'écrire un billet personnel comme on le fait habituellement, sauf que cette fois, il faut le faire dans le style reconnaissable d'un lecteur blogueur, assidu ou non, de votre blog. Moralité, pour ce présent billet, comme je l'ai dit à Nath in Phoenix dans notre dernier échange ici bas, ça va être un parcours de santé pour moi. Quant à vous, plutôt que de vous passer le bébé, je vous laisse libres d'utiliser ce nouveau tagalacon chez vous ET surtout, je vous demande, via vos comms ici présents, de deviner QUI j'ai pastiché, ça ne devrait pas être trop difficile. Celui/celle qui se sera reconnu s'abstiendra de se dénoncer mais peut poster un comm dans le sens du billet (ou tromper les autres lecteurs). Attention ! A vos marques ! C'est parti :
Le Grand Serge (pas moi, lui)
Oui, j'aurais pu faire un papier sur Serge Gainsbourg, mon éternel Maître à penser trop injustement mal connu, originaire de Russie (oui comme Prokofiev), éclos en pleine vague St Germain des Prés, assimilé à la dite vague. J'aurais pu parler de son égérie et muse éternelle qui, à défaut d'avoir embelli sa vie de sa présence en chair et en bosses à ses côtés, trônait dans son salon noir tout près de son piano Steinway & Sons sous la forme d'un portrait photographique dénudé créé par Gunther Sachs, le mari d'alors de ladite muse plus connue sous le nom de la Bardot, l'éternelle Brigitte. Dernière image d'ailleurs qu'il aura sans aucun doute vue avant de pousser son dernier soupir alors qu'il composait au piano cette fameuse nuit là. J'aurais pu développer sur leurs duos fabuleux ou des titres pour elle ou lui tels que le plein de dérision "Comix trip", le fringuant "Bonnie & Clyde", l'extatique "Je t'aime moi non plus", le déjanté et americano "Harley Davidson", la "décadanse" (duo avec Birkin) de "Initials BB". J'aurais pu parler de tous les scandales qu'il a provoqués sur les plateau de télé. J'aurais surtout pu vous parler de ma rencontre historique avec mon Maître.
Mais je n'en ferai rien. Non rien.
Pourquoi ?
J'aime pas le dimanche ! ("Gloomy Sunday" la chanson de mon Maître qui m'arrache inéluctablement les larmes à chaque écoute)
FIN du Pastiche : Merd'huile ! Nous ne sommes pas dimanche mais vendredi. Tsss, un coup pour rien. Pour rien ? Cette fois oui, la prochaine fois, je développe. Mais patience, patience, il y a encore d'autres billets à venir avant (ben quoi, faut bien que je fasse durer le suce-pen's) :)))))